Je voulais écrire sur autre chose, mais le cours "Langues et ouverture interculturelle" m'a attrapé aujourd'hui. Et je tombe sur cet article et le français de Panaït Istrati. "Français de contrebande", un peu comme le mien. Et qui est pire sur ce blog qui ne possède pas le dictionnaire de word... Exotique et plein de "néologismes" - enfin, ce que m'avait dit un très cher professeur de L3 sur mes erreurs-horreurs de français. 

Demain: Hess, écriture, méthodologie. Des idées que je promène depuis longtemps mais que je n'arrive pas à les écrire. Oui, je promène les lectures et les idées avec moi: je fais des papiers, des documents et je ne passe pas trop à la maison. L'exercice d'écriture dans le carnet je ne le fait plus: le recopiage révèle un peu de l'autotraduction... Mais je détruis les livre avec des notes sur les marges. Je les vis. 

P.S. Ne pas oublier à Gherasim Luca pour cet EC: c'est trop important ce qu'il fait au français! Aucun respect ou trop de respect? Ou de l'amour tout simplement? 

"« français de contrebande », avec une « syntaxe barbare », comme il le dit avec auto-ironie" 
(Bibliographical reference Muguraş Constantinescu, « L’altérité dans le texte : entre report et emprunt, entre occasionnel et durable », Palimpsestes, 25 | 2012, 185 – 201. Electronic reference Muguraş Constantinescu, « L’altérité dans le texte : entre report et emprunt, entre occasionnel et durable », Palimpsestes [Online], 25 | 2012, Online since 01 October 2014, connection on 23 February 2017. URL : http://palimpsestes.revues.org/1829 ; DOI : 10.4000/palimpsestes.1829 )

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